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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 18:44
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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 18:38
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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 18:31
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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 08:42

Clique sur le lien suivant pour à partir de cartes comprendre le génocide arménien

 

http://www.lemonde.fr/international/video/2015/04/23/ce-qu-il-faut-savoir-du-genocide-des-armeniens_4620983_3210.html

Le génocide arménien
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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 16:27

Présentation de quelques masques

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 16:17
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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 15:57

Le commerce triangulaire


S’opposant au commerce en droiture, le commerce négrier est également appelé commerce triangulaire en raison du chemin parcouru par les bateaux qui partant d’Europe, se rendent en Afrique avant de rejoindre l’Amérique et de retourner enfin en Europe.

Le principe est le suivant : des armateurs arment les navires. Ils embarquent à bord des produits bruts comme le vin ou manufacturés (armes, petits outils, verroterie). Puis le voyage commence vers les côtes d’Afrique, le plus souvent vers le golfe de Guinée parfois l’Angola, moins fréquemment le Sénégal.
Là bas, les pays européens ont édifiés des forts qui servent de lieu de base au commerce des esclaves. Les peuples maritimes les plus puissants y troquent depuis longtemps leurs congénères noirs prisonniers venus du centre du continent ou même de la zone côtière, contre la « pacotille » des caravelles européennes. La marchandise y est donc échangée contre des captifs, qui perdent aussitôt leur statut d’êtres humains pour devenir une simple marchandise mais qui vaut de l’or. Un esclave coûte en moyenne de 100 à 300 livres au capitaine, une somme considérable. Un bateau doit parfois visiter plusieurs sites afin de compléter sa cargaison de 350 à 450 esclaves et sa campagne peut durer jusqu’à deux mois.

Les prisonniers sont entassés peu à peu dans l’entrepont des navires, hommes séparés des femmes et des enfants et souvent enchaînés pour éviter les révoltes ou les suicides jusqu’à ce que leur nombre soit suffisant pour lever la voile vers l’Amérique. Le temps de trajet est en général de 5 à 6 semaines si les vents sont bons. Comme ces hommes doivent être livrés aux Antilles sans être trop endommagés, la traversée est entrecoupée de courtes sorties sur le pont où ils sont arrosés d’eau de mer et où on les fait danser pour leur donner de l’exercice. Cela n’empêche pas une moyenne de 15% de décès sur l’ensemble des traversées du XVIIIe siècle.
Une fois arrivé dans les îles à sucre des Antilles, la vente est annoncée dans les gazettes et par affichage.
Les captifs, main-d’oeuvre indispensable à l’exploitation des plantations, sont vendus  contre les produits coloniaux (sucre, tabac, indigo, coton, café..) qui ramenés en Europe sont vendus avec un large profit..
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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 15:42
La traite négrière atlantique débute au 15e siècle lorsque les Portugais commencent à acheter des hommes sur les côtes d’Afrique qu’ils explorent alors.
La découverte du Nouveau Monde et sa colonisation par les grandes puissances maritimes européennes accélèrent le processus de façon exponentielle. L’exploitation des richesses et des territoires de l’Amérique demande une main d’œuvre abondante pour alimenter mines et plantations. Ni les émigrants européens, trop peu nombreux, ni les Indiens, décimés par l’exploitation et les maladies, ne suffisent à la tâche.
 Se met alors en place, dès le 16e siècle, un commerce transatlantique que l’on a appelé « commerce triangulaire » : des négriers européens partent d’Europe avec des marchandises manufacturées qu’ils échangent sur les côtes d’Afrique contre des captifs fournis par certains royaumes et négriers africains.
Les navires européens transportent ensuite leur marchandise humaine à travers l’Atlantique, dans un terrible voyage que certains historiens ont nommé la Grande Déportation.
 Les captifs sont ensuite vendus à des colons aux Antilles, au Brésil, en Amérique du Nord, mais aussi à la Réunion ou à l’Ile Maurice dans l’Océan Indien. Réduits en esclavage, ils travaillent sous la contrainte, dans des conditions le plus souvent très dures : en moyenne, l’espérance de vie d’un esclave de plantation ne dépasse pas dix ans. Les marchandises produites par les esclaves (sucre, café, cacao, coton, tabac…)  sont exportées vers l’Europe pour y être vendues.
Les historiens estiment qu’en moyenne, les bénéfices des expéditions de traite sont compris entre 15% et 20%. La traite contribue à l’essor économique des ports, et plus largement des pays qui pratiquent le commerce d’êtres humains.
Le système atteint son apogée aux 18e et 19e siècles.
 Entre le milieu du 15e siècle et la fin du 19e siècle, on estime que plus de 12 millions et demi de captifs furent déportés d’Afrique vers les Amériques et les îles de l’Atlantique. Plus d’un million et demi de personnes périrent pendant la traversée.
 En Afrique même, d’innombrables victimes moururent lors de leur capture ou lors de leur marche vers la côte, avant même d’embarquer sur les navires négriers. Le nombre véritable des victimes de ce commerce criminel ne sera donc jamais connu.
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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 15:18
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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 14:34

Extrait de Thalassa sur Shanghai

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